Encore un labyrinthe. Ou plutôt, une successions de pièces, compliquée, où nous passons pour libérer la bête, que rien ne sauvera autrement.
C’est une ambiance de débâcle. Les familles se tiennent par la main. Se guident, « non, pas par là, c’est dangereux ». Et se perdent.
Les couloirs sont encombrés de vieux meubles protégés de draps épais et poussiéreux, faisant du chemin un parcours du combattant.
Nous sommes tenaillés par l’angoisse d’être entrainés puis séparés par la foule.
Nous bifurquons dans une salle sur notre gauche. Elle est d’un blanc éclatant qui nous éblouit.
Puis plus rien.